Et puis Téji Savanier appuya sur l’interrupteur
Le match avait tout du piège. Face à Rodez, Montpellier, pourtant en supériorité numérique depuis la 30e minute, peinait à imposer son jeu. Les Héraultais avaient bien entamé la rencontre, se procurant les meilleures occasions avant l’expulsion ruthénoise, mais le souffle offensif s’était progressivement éteint jusqu’à la pause. Comme s’ils craignaient l’erreur bête. Trop de lenteur, trop d’imprécision, et surtout…