Ce n’était pas l’Alaska, la Sibérie ou le Groenland, mais ça y ressemblait quand même plus que vaguement. «Honnêtement, j’ai rarement joué dans un tel froid, et pourtant je viens de passer deux saisons aux Pays-Bas, à ce point-là, c’était abusé, mais c’est notre boulot de jouer quelles que soient les conditions», sourit Thomas Robinet.Capuche sur la tête, emmitouflé dans…